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2017-04-06
cr, conférence, crihn, Jeffrey Schnapp, MetaLab

cr conf CRIHN Schnapp 6 avril 2017

Développement des DH ne peut se faire sans relations international.

MetaLAB

Collaboration trois dpt, création ponts et consolidation d’un milieu de travail interdisciplinaire.

CRIalt art et technique, Michoulan, 20 ans, Chaires recherche Canada, CRIHN "8 membres réguliers".

un des théoriciens les plus originaux dans les DH, notamment car pas digital.

Collaboration CCA depuis 2008

levé avant 5h, français pas certain.

Manière de restituer trajectoire, knowledge design. Idée nées dans contexte particulier. Rice university, idée conférence sur les disciplines imaginaires. Question disciplinaire. Quid quand bouge ? Passage du ms à imprimé. Changement médium. Révolution à Stanford où sentiment que Humanités pas présentes.

Hanté par les dénominations. 1999 à Stanford, Humanities lab, dialogue avec sciences.

MetaLAB, travail sur comment désigner ce que l’on fait. Question du Meta. Piège disciplinaire à donner trop importance au terme digital. Ensemble d’outils de technologies, etc. Mais manque aspect essentiel que réouvre questions sur la forme que prend le savoir et la manière dont le produit. Une question culturelle, et de design.

Dès lors que s’engage dans des pratiques expérimentales constate que les disciplines pas même naturelles. Une cristallisation du 19e, Constamment challenges par les nouveauté. Apporter approche expérimentale dans le domaine des sciences humaines.

Venu avec cette idée car humanities knowledge, design thinking. Modes de communication, interaction, ouvre à redesign sur la manière dont le savoir est produit, comment recircule. Échelles à laquelle travaille, méthodologies, comment forme des arguments. Espace transitionnel entre penser et faire. Moment entre postmodern théo et réarticulation avec le fait de faire.

Théoriser à travers formes de faire. Disciplines fictives aujourd’hui réelle. Alors se confronter à une réalité. Essaye d’amener le studio à la classe et le séminaire à la classe. Deux espaces très différents mais qui ont beaucoup à apprendre l’un de l’autre. Quand dit studio, parle du studio d’architecture où fait des choses.

What could or should knowledge look like in the 21th c.?

Savoir longtemps assimilé à un ouvrage, certain apparat, etc. Institutions pierre de touche de cela. Mais si regarde travail du 19e, beaucoup plus varié en réalité. Répondre à cette question en exemplifiant formes alternatives que peut prendre le savoir.

Where and how ce savory produit, activé et partagé ?

Questions des formes émergentes, des genres et expériences qui engagent

Quel ponts entre expérience digitale et analogue ?

Champ du knowledge design qui cherche à se confronter à cela. Expérimenter et modéliser nouvelles plateforme de savoir, etc. Un problème architectural.

Historiens de la culture qui travaille aujourd’hui sur échelles impensables avant. Humanistes peu expérience de ces changements échelles et apparats. Qu’en fait-on ? comment en fait-on des arguments.

Knowledge design, un peu partout. Aborder les pbs et opportunités des médias de nos jours.

Creative technologist, mais aussi artistes.

Terme digital qui va disparaître ! Plutôt penser comment réanimé par le numérique.

Storytelling à nouvelle échelle. Big data et ce qu’en fait. Capacité de dire de choses à l’institution que ne sait pas elle même. Question de la performativité (savoir médiéval). Sensorium, pas de culture de la curation de ces contenus.

Comment utilise smart phones, etc. Le monde est aujourd’hui un hotspot. Que signifie vivre dans ce monde là.

Exposer et exprimer des structures de données. Pas immatérielles, comment produit engagement avec cela.

Quelques exemples.

Prolifération de nouvelles formes, nouvelles voies.

Données un matériau définitionnel de notre ère. Notre marbre, notre pétrole et notre charbon. En produit tout le temps Mais doivent être construites, traitées, formées pour tenir des arguments.

Diging in the data, parfois montrer combien posent irrégularité, etc.

Trois type de mapping. Faire pour montrer.

Beautiful Data Getty Workshop 2015 été.

Curricle 2016 à nos jours

The life and death of data 2014

Ne croit pas que tout le monde peut devenir super héros. Mais engager savoirs de traduction.

What are problematized collections ?

Comment penser la base de données.

Présentation sous forme de cartes, mais aussi sous forme de contenus JSON en matérialisant les relations entre ces éléments, une autre représentation. Une forme de storytelling graphique où les données sont tout. Rend visible l’invisible.

Troisième manière de faire, le même ensemble de données. Dire différentes formes de relations. Un petit documentaire sur base de données, construit autour une utilisation expressive des données.

Book by a machine. Prendre enr de world cat et utilisation datais technique, passage manuscrit aux éditions imprimés.

Comment un catalogue de cours peut devenir un aviseur interactive et une time machine. Comment utiliser outils de visualisation pour montrer que le catalogue une chose vivante. Montrer l’histoire de l’institution à travers des ruptures, etc. Et comment naviguer dans cette histoire. Formes de pédagogies prévalantes. Extension des lectures ? artefact des données ?

Comment les archives d’une institution et ses repos évoluent.

Bel exemple de visualisation, arboretum de Harvard, un outil de recherche. Extrêmement bien documenté.

Archive liée à un argument. Et série de re-représentation des données sous différentes formes. Et vue par dessus de l’acrroissement. Représentation 3D conique, chacune raconte histoire différente.

Blue print for counter education, Inventory Press 2015. Un environnement portable. Tournant visuel 1969. Blueprint que pouvait tirer à peu de frais. Faire une réplique mais qui l’étende avec un appareillage qui le rende encore pertinent aujourd’hui. ajout nouveau livre dans réplique. Et volonté de créer une expérience de où le livre vient pour créer archive vivante. Afficher couches en transparence. Archive des projets. Mais aussi une actualisation qui amène cela dans le présent sur la question de savoir ce qu’est un musée, etc.

Où la culture de l’imprimé doit aller aujourd’hui. Livre plus le produit fini. Comment met ensemble domaine de connaissance. Ex. livres design drive. Souvent livre écrit pour renseigner le template, mais inverser. Parfois plus challenges.

The Library Beyond the book sur l’histoire des bibliothèques. Fenêtres sur des aspects de l’infrastructure. Idées sur l’avenir du livre, en rouge dans la marge du livre. Système de Cartes pour que des architectes répondent à la question. Sorte de toolkit pour les aider à penser la bibliothèque. Essai visuel depuis film Alain Resnais visite du magasin Harvard comme lieu de visite. épilogue.

Cold Storage 2015

Ce filme le système de navigation dans une archive. Pas des bibliothèques pour les gens mais pour des systèmes. Entièrement conçues pour la lecture des machines. Stockage haute densité. Une sorte de réformation du film de Resnais. Une sorte d’hommage. Nombre d’expérimentation car produits aussi des données.

Que signifie accéder à l’information dans un monde physique. Quelle est l’architecture de ce genres d’espaces. Penser le futur du système de savoir et d’apprentissage.

Cf. dans l’espace muséal. Lightbow Gallery.

Espace peu utile pour présenter œuvres. Comment créer une expérience des données. et ensuite une opportunité interactive de faire en sorte que chaque pixel puisse cliquer et qu’amène l’objet et toutes les données qui lui sont associées. Voir tous les surrogats qui lui sont attachés.

exposition ensemble des objets présentés à la galerie. Produire un sentiment de l’exposition comme un tout.

Ensemble de champs, provenance, média, ect.

Analyse automatisée des couleurs. Et computer vision qui ne peut pas différentier objet de l’arrière plan.

Deuxième vue, sur le murs opposés, où plus un écran mais un système de projection, où voit les objets en relations. Cette fois-ci vus comme des objets de données. Expérience interactive, qui permet de reshuffuling carte objets etc. Identifier des typologies, exemplifie les opportunités de rendre compte d’autres histoires.

Non pas la matérialité des objets qui peut bien mieux être exprimée en réel.

Discussion

Relation à l’institution. Moments plus ou moins stabilisants à l’égard de l’institution. Où se place, qui peut designer du savoir ? Les institutions ?

Institutionnellement une question compliquée, savoir si DH doivent être dans bibliothèques, dans les musées, dans les départements. à Stanford, dès lors que hors de l’école fonctionne, dès que dedans des pb pour opérer. Super lieu, mais gens qui pensaient que Arts and science. Savoir où place fabrique, pas de bonne réponse à ça.

Si veut réellement être engagée dans des pratiques expérimentales, sans doute mieux en dehors de la structure de l’école. Raison pour laquelle lab tendent à devenir indépendant. Souvent idée que ajoute quelque chose et ne renonce pas à qqchose. Difficile de devenir expert dans un seul champ. Expertise pas facilement acquise. Et ajout autre compétence sans doute pas la bonne voie.

Mais ajouter des savoirs pour que les personnes soient conversationnels pour comprendre enjeux de design d’une question scientifique, la question computationnelle. Racines de disciplines, et s’exposer créativité. Pas interdisciplinaire si pas à changer le langage que l’on parle.

Si avez à apprendre autre langage, celui du programmeur ou du designer. Habilité à devenir conversant, voir exemples de cette pratique, le grand challenge. Labs le bon lieu, car des ateliers où fait. Mais toujours été relation 1 à 1. Condition épistémologique de notre temps créent structure en loupe entre théorie et application. Jamais meilleur endroit que où de réels experts cherchant à solutionner des questions avec leur expertise.

Un peu fatigué avec la question de Design Thinking, essor qui s’est substitué à la théorie au moins dans les études littéraires. Maintenant partout, invoqué dans les facultés de commerce. Mais réorienter les approches vers la résolution de problème, oscillation entre le domaine pur et l’application, les structures de collaboration. Ensemble de thématiques fortes dans une époque où est sceptique sur les théorie et les universels. Et où une sorte d’impatience à l’égard manière critique d’envisager les humanités dans l’institution. Design thinking donne impression être méthode pratique pour résoudre des problèmes réels. Forte sympathie et peut-être trop globale.

Ensemble de pratiques dont question ici enracinées dans des pratiques préexistantes comme design du livre, dessin des pages, etc. Design thinking qui tend à flotter au-dessus de pratiques qui sont plus profondément enracinées par rapport.

Recherche qui a toujours été une pratique créative, surtout quand l’objet est une pratique créative. Avant de penser un problème de recherche, doit d’abord penser à la forme que les choses doivent prendre. Un cercle d’expérimentation. Mais important de respecter la rigueur et la difficulté de pratiquer dans différents domaines. Un monde où tous les humanistes deviendraient des designers serait terrible. Des champs spécialisés où une culture particulière que ne peut développer que dans le temps.

La véritable question pas de choisir entre ces champs mais d’établir des passerelles entre ces domaines. Se familiariser avec différentes formes de language. Et au départ savoir quelle est la question de recherche.

No technodéterministe. De quelle manière histoire du numérique, fonde… Doug engelbart, knowledge work.

Expérimentation des nouveaux médias qui intervient dans la contre culture. Fred Turner, etc. Une veine extrêmement productive, sans doute pas un hasard que m’y intéresse. Choses qui s’établissent avant le numérique. Une question pour les humanités numériques elles mêmes de savoir jusqu’où sa généalogie est informée par ce type d’expérimentation.

Mais aussi nature business du numérique. Intéressé par Blue print car travaillait sur Luhan. Publications Bell, idée de travailler sur les possibilités génératives de ces machines toutes dans le monde du business. Très intéressé par les contaminations de ces domaines.

Eric met emphase sur le fait qu’il n’y pas savoir pure. Savoir pas seulement manière organiser choses, mais aussi une manière de les transmettre, les designer. Une manière très intéressante de rendre cela visible. Votre propre manière de mettre en visibilité. Jaune/noir, connecté à certains égards.

Critique humaniste de la manière dont sciences fonctionnent, voix et information. Toujours été intéressé dans la forme intermédiaire, contaminée. Une contagion qu’obtient en faisant film, en considérant les bases de données comme des outils narratifs.

écriture une partie cruciale du knowledge design. Qu'est-ce que raconter une histoire à petite échelle, par formes différentes. Formes traditionnelles qui sont seules.

Warburg faire une ontologie du savoir, une méta-ontologie du savoir ?

Ne pourrait pas répondre oui avec confiance compte tenu des pratiques eccentric que montré. Mais à certains égards dirait oui. Repenser ce qu’un livre comme interface peut faire. Et forme de stabilités associées à ce livre. Ensemble d’outils qui ont des effets cognitifs. Expérimenter dans cet espace, capture certains éléments du zeitgeist d’une époque. Aime beaucoup le travail de l’archéologie des médias. Permet de dénaturaliser les choses. Fantaisie culturelle.

Choses parfois qui paraissent datées, mais signifie que profondément engagées avec leur temps. Demande de plus en plus aux étudiants de redesigner travaux canoniques dans un autre langage.

Organi