Martine Denoyelle, INHA, 4e journée, la deuxième à l’INHA. Dédiée à l’Open Content.
https://meta.wikimedia.org/wiki/Journée_Wikimedia_Culture_et_Numérique_2023/Programme
Cette journée permettra de mesurer l’engagement de Wikipédia et les partenaires de l’observatoire de l’Open Content. Journée autour de la restitution du rapport de l’agence Phare et Wikipédia France. Aujourd’hui passe à une phase d’incitation et de promotion avec la création du Label Open Content.
À l’INHA considérons comme très importante notre participation à cette initiative, au-delà de notre conviction et notre expérience professionnelle et personnelle, il n’y a pas de stratégie nationale pour l’open content. Les instiutons libres de s’y engager, donc important qu’une institution nationale de recherche dépendant des deux tutelles, joue un rôle actif dans le domaine. Programme Usages et Images depuis 2016. Cycle des lundis du numérique qui a fait une large part à l’ouverture des données. INHA partie prenante depuis 2017 avec la mise à disposition des collections de la bibliothèque sous licence EtatLab et CC0. Du côté des données de la recherche actions d’ouvertures importantes. Charte pour la science ouverte de l’INHA signée cette année et votée qui fait état du partenariat avec l’INHA et de l’engagement ferme en faveur de l’Open Content.
Apprendre, partager, découvrir et se rencontrer. Journées importante pour l’alliance entre les institutions culturelles et Wikipédia. Alliance qui déclare que peu importante où se trouve sur la planète, vous avez le droit d’accéder aux contenus et aux connaissances mondiales. Que vous soyez à New Delhi ou en banlieue parisienne, vous avez le droit de consulter les chefs d’œuvres du passé sur votre portable, etc. Nous agissons ensemble pour que tout cela soit possible.
Un aspect de niche car concerne surtout l’open data des images. Mais aussi quelque chose qui parle à tout le monde car on parle des images accessibles à tous les publics.
Inspiré par l’observatoire de l’Open Data mais constaté que les images toujours sous redevances. Possibilité de la loi Walter. Important de pouvoir lever le blocage des redevances.
Le principe de l’Open content, c’est un partage de tous les contenus sans contraintes, y compris commercial. Craintes non justifiées car il y a une valeur d’usage de ces contenus.
Concrètement diffusion des images d’œuvres en bonne définition sous licence libre (usage commercial compris)
- 2015 loi Walter, exception pour le secteur culturel qui ouvre la possibilité de redevances
- 2016 loi Lemaire pour la république numérique, qui acte open data
- 2018 Rapport images usages de l’INHA
- 2018 Survey Europeana on open glam policies
Chronologie rapide
- avril 2022 présentation du rapport Open Content dans les institutions culturelles en France
- octobre 2022 Label Culture Libre, open content et numérique collaboratif (19 candidatures)
- avril 2023 Observatoire de l’Open Content analyser et observer et être référent sur l’utilisation de l’Open Content et de disposer d’un organe spécialiste de ces questions.
Recommandations du rapport Open Content
- Mettre en place une stratégie nationale en faveur de l’Open Content
- Création d’un fonds pour soutenir
- Soutenir les institutions culturelles dans la création de GLAM, appels à projets ciblés, etc.
En direction des GLAM promouvoir une gestion simplifiée pour les personnels.
Allier l’humain à la promotion pour créer des communautés vivantes. Partenariat avec les associations.
Volonté de créer avec l’Angence Phare un premier rapport qui permette de définir l’Open Content et de préciser les conditions de mise en ligne des contenus, les liens avec les Réseaux sociaux, et licences. Pièce maîtresse à partir de laquelle l’Observatoire se propose de commencer à travailler.
Une lettre annuelle est envisagée pour mettre en exergue des projets intéressants pour le large public des institutions culturelles. Proposer des outils pour ouvrir des contenus, etc. Proposer des articles en profondeur. Avoir des référents.
- Pauline Berni, Responsable des médias sociaux, AN
- Maïwenn Bourdic, Archiviste et Wikimédienne
- Danièle Bourcier, Creatve Common France, Directrice de recherche émérite CNRS
- Martine Denoyelle, INHA
- Benjamin Jean, Juriste spécialité en propriété intellectuelle, Inno
- Anne-Laure Donzel, Consultante et Datactivist
- Lionel Dujol Bib Univ Grenoble
- Pierre-Yves Lochon, Fondateru et admi du CLIC Club Innovation & Culture Carole Renard, AD Aude
- Manon Dix, Musée de Bretagne
- Emmanuel Rivat, Confondateur et directeur général agence Phare
- Xavier Cailleau, resp des partenaraiats GALM
Besoins d’accompagnement, difficile de partir de rien, maîtriser le cadre juridique.
AN depuis 2017 principe de gratuité pour réutilisation des contenus. Mise en ligne de 800 pages de documents. Création et modification 1500 notices. Création et modification de plus de 200 éléments sur Wikidata. Prise de conscience au sein de l’instiution sur le fait qu’apporte une vraie visibilité à l’institution et que la participation des agents apporte montée en compétence. Apporter expertise.
CLIC, observatoire plus nécessaire que jamais pour accompagner les institutions culturelles qui ont déjà décider d’adopter cette stratégie mais aussi pour convaincre celles qui souhaiteraient s’y engager. Fin 2022, la ministre de la culture avait pour la première fois donné une sorte d’impulsion en faveur de l’Open Content et même mis à disposition un budget. Nous espérons que les institutions culturelles saisiront la main tendue qui leur est offerte. Espérons jouer rôle de poil à gratter.
Martine Denoyelle, passé conservateur au Musée du Louvre puis chargé de la recherche. Commission d’enquête Images Usages. Faire le constat de situation négatives puisque la Fondation de France s’inquiétait pour l’édition d’art, déperdition d’efficacité et fermeture de maisons d’édition en raison des droits sur les images. En ce sens rapport très différent de celui de l’Agence Phare. Fait des constat de situations très dégradées. Open Content apparaissait comme pas en avant extraordinaire. Engagement qui a mené à la poursuite du travail dans ce domaine avec la publication d’un petit guide pour la réutilisation des images diffusé gratuitement. Autre publication à venir : recueil de bonnes pratiques sur la mise en ligne des collections. Toujours à cœur d’examiner des modèles qui fonctionnent. Accessibilité, NFT, etc. Faire une veille attentive.
- INHA. 2021. « Guide pratique pour la recherche et la réutilisation des images d’œuvres d’art ». Text. Fr. Consulté le 22 juin 2021. https://www.inha.fr/fr/actualites/actualites-de-l-inha/en-2021/guide-pratique-pour-la-recherche-et-la-reutilisation-des-images-d-uvres-d-art.html.
100M euros accordés à la libération des images.
Emmanuel, sur la dimension internationale
Danièle Boursier, insiste sur le besoin de désenclaver la France. Creative Commons, 2004, lancement à l’Assemblée nationale avec enthousiasme des jurisques. Associé Directive auteur. Chapitre en train d’être recréé. Question de la formation qui est fondamentale et pas été suffisamment développée. Organiser des actions de formation en tenant bien compte de la spécificité des domaines. Une spécificité des métiers qui n’a peut être pas été suffisamment prise en compte. Oblige à réfléchir à nos pratiques, nos usages. Les chercheurs ne sont pas suffisamment convaincus, les chercheurs ne souhaitent pas mettre à disposition en ouvert. Quand on leur demande pourquoi, c’est souvent très confus... Relier avec l’Open Science.
Une tradition à Wikimédia France de ne pas commencer trop largement car souvent des projets qui sont lancés à l’international qui ont du mal à avancer sur le long terme. Par ailleurs, un retard français. Mais Wikipédia France travaille sur la francophonie avec Wikifranca, mais à un moment ou un autre toutes les composantes de Wikipédia francophone seront invités à collaborer. Avec la science, l’ouverture sur laquelle travaillera dans les prochaines années.
Label consacré à l’open content mais aussi aux projets collaboratifs. Récompenser qualité des contenus, modèles, etc. Les contenus Wikipédias qui sont référents des usages en ligne. Pas toujours été à la table de la discussion. De plus en plus le cas. Car des informations, des retours sur l’usage en ligne pour expliquer ce que deviennent les images dans la sphère Wikimédia.
Cube Inno, Club Culture Clic, Wikipédia
Rmeise des prix
Label Bronze, changement des hn en 2020, mise en ligne bdd et licence ouverte. Intégration Wikidata travail avec groupe local lyonnais. Archives municipales de Lyon.
Nancy
AN contribue Wikipédia depuis 2013
Numistral depuis 2013, création du Lab. Engagement dans Wikipédia avec projets. Bib univ de Strasbourg
AD du Rhône Open Content. Avis CADA négatifs mais passé en Open Content.
Musée des Confluences, nombreuses choses mises à disposition en libre. 2 type de réponses sur l’ouverture. Ne voulaient pas facturer de redevance, et pas d’opinion... Il a donc fallu se débrouiller. Libération partie des inventaires avec CC-BY-SA. Envoi massif des versions HD des images sans formulaire avec message concernant la mention des sources. À son départ, 2012, passage en licence payante et tout ce qui a été mis en place a été désingué.
Archives de Lyon, 2013-2022, des pratiques de réutilisation contraires à l’Open Data. Licences payantes, formulaires même pour l’usage privé. Un directeur pas du tout favorable à l’ouverture. Cela a toutefois pu évoluer grâce à la marche des usagers. 2 personnes sur le projet : chargée de com et elle. Grande présence sur les RSN or ne peut pas libérer d’un côté et fermer de l’autre. Mise en ligne de la bdd, et un site internet dont l’accès est très centré sur les images. Politique de cohérence.
Politique du pied dans la porte. Faire de l’open data avant mêem de disposer d’une politique d’établissement. Mise à disposition d’un fichiers des voies de Lyon très attendu même si pas au format.
2021-2022, mise en place d’une collaboration avec Wikipédia France. La Cabane de la quenelle ! Des formations. Mise en ligne du Commons. En mars 2022 directeur largement convaincu, contacte sa tutelle avec une note pour présenter les enjeux aux AM de Lyon. Rencontré un accueil très favorable. Nouveau responsable informatique fan d’open data. Cette politique est donc favorisée par la ville de Lyon.
Fait suite mission 2018-2019 sur le sujet dont la personne en charge avait traité les données culturelles.
Juillet 2022, pied dans la porte. Commence à mettre en ligne des galeries d’images. Encouragement à poursuivre avec le label.
Reste nombreux freins à lever. Délibération de novembre 2022 à faire évoluer car passée par la direction des affaires culturelles. Voulait des CC, nous a proposé EtatLab... Surtout une convention avec Philae pour vendre les images d’état civil jusqu’à juin 2023 ce qui impliquait de maintenir des frais. Par ailleurs la direction juridique pas du tout formée sur ces questions.
Numelio labellisé également. Les deux seules institutions à Lyon à avoir affirmé cette politique. Conscience d’être modestes sur Wiki, devait donc se former. Formation sur temps personnel. Conscient d’être encore timide sur nos mises en ligne.
Dispositif fragile car en dehors des ateliers la seule à intervenir sur ce sujet.
Leviers et ambitions : importance de la communication en interne et en externe. Marque page, formation des collègues. Page solide sur les conditions de réutilisation, diffusion sur les réseaux.
Data.grandlyon.com que voudrait intégrer.
Harmoniser les conditions d’utilisation des descriptions dans la bdd. Dans Mnesys importation des inventaires qui implique de les retravailler. Pérennisation des ateliers wiki dans la programmation adulte. Premier éditathon. De bons retours encore de l’organisation à améliorer.
Objectif de pouvoir passer labellisation supérieure avant retraite !
Vive la culture libre et la labellisation !
Lab manager. Mise en accès. Aspects techniques et juridiques. Équipe de la Bibliothèque numérique des données. Label qui nous a permis de déterminer où pêchait. Des attentes du public aussi qui changent.
Besoin de devenir des médiateurs de la données. Pour faciliter l’appropriation des données. Pas seulement des mises à disposition mais faciliter l’appropriation.
Du contenu structuré pour une recherche structurée. Besoin de pouvoir produire des données pour la recherche. Faciliter l’appropriation et donner du temps au chercheur.
Un lab de 100m2 au sein de la bibliothèque. Veut l’ouvrir à tous. Un lieu pour faire de la médiation de la donnée. 100m2 modulables. Pas d’ordinateur pour que les gens travaillent sur leur propre ordinateur. Un espace phyique pour que les gens travaillent sur leurs données.
Ne puise pas seulement dans Numistral. Label qui va aussi nous permettre d’identifier des ressources utilisables.
Projet Wikidata GAGA. Deux projets revenus vers nous dans lesquels intègre du Wikidata et de notre côté production de cataloguage. Formations Wikidata pour les bibs.
Wikisource flop car pas abouti encore.
Lingua Libre Show, l’action la plus engageante. Dialogue inespéré, pas d’objectif de notions abordées.
Discussion
Guillaume Nahon Inspection générale des patrimoine
Reims https://musees-reims.fr/fr/musee-numerique/
Démarche qui va s’appuyer sur Le Musée numérique notre interface pour les musées de Reims et diffusion sur les projets extérieur.
Volet digital qui regroupe six établissements de la ville de Reims : Le Musée des beaux-arts en cours de rénovation (ouverture prévue 2025), Chapelle Fujita, Musée Saint-Rémi, Musée Le Vergeur, etc.
Au sein d’une direction mutualisée des musées, mise en place d’un site internent. Sur lequel s’adosse un portail des collections. En ligne depuis 2021. Les six musées représentés, chef de file le Musée des beaux-arts.
15 500 notices, dont 6 000 illustrées HD.
12 000 utilisateurs par mois pour le site, dont la moitié sur le musée numérique.
Interface graphique soignée avec deux volets de lecture. Voulait sortir du modèle de la base de données qui manque souvent d’attrait. Deux volets lecture qui laisse part importante aux images. Cartels et commentaire riche sur l’œuvre. Au-dessous notices complète avec différents champs. Rebonds et facettes cliquable.
Proposition de téléchargement du visuel en HD, licence EtatLab équivalent au CC-BY pour citation de la source.
Rmq techniquement un site créé avec SPIP à partir de la base MicroMusée. Refonte du site web prochainement prévue.
Projets wikipédia importants. Plus grande Encyclopédie. Grand nombre de visiteurs.
Applicatif Pattypan pour mise en ligne sur Commons, open-source tool to upload files to Wikimedia Commons https://commons.wikimedia.org/wiki/Commons:Pattypan
Organisation d’un concours de création graphique
Des œuvres soumises à droit sur le portail collection. Contractualisé avec les sociétés de gestion et d’ayant droits.
Actuellement cherche à faire développer l’interface technique de son site. Informatique responsable. Cherche aussi à développer les numérisations 3D. Travail avec une société sur un agent conversationnel qui serait lié au portail des collections. Accessibilité, et médiation.
Discussion
Manuel Moreau chargé de prospective
Malik Dialo ?, directeur bib municipale
Champs libres une institution culturelle qui accueille une bibliothèque, un musée et ..
Dispositif des quatre C la possibilité faite au public de se rencontrer et proposer des rencontres. Convivialité Coopération, Capacité et Communs. Une ligne sur les politiques d’accueil et d’hospitalité que veut offrir dans l’établissement. La population pouvant venir et nous proposons des ressources. Avant-garde car porté fortement comme ligne de l’établissement.
Partage de ressources en lien avec cette politique des champs libres. Possibilité d’incarner le métiers dans l’équipement. Partager et mettre à disposition, notre boulot le quotidien et pas un projet à part. S’inscrit donc en plein dans notre métier.
Projet d’établissement de l’équipement de Rennes métropole. Projet d’inclusion, ouverture des données. Un agenda ouvert. Projet de refonte du site web destiné à faciliter cet accès aux données. S’isncrit dans des politiques d’ouverture de données portée par la communauté métropolitaine (open data). Accessibilité et équipement.
Une histoire de longue date, 10 aine année. Bibliothèques qui avait initié sa numérisation puis le musée portail des collections. Participation 1 lib 1 ref depuis 2018. Accueil d’un wikipédien en résidence. Ateliers de médiations. 4C
Projet européen rudy ? valorisation usage.
L’Open Content. Commencé avec le service juridique. Rique limité du point de vue de la spécificité de nos collections. Mise au pilon d’un livre car contenait une photo de mariage d’un couple divorcé !
2012 lancement Rijkstudio. 10 ans après bilan.
Nanet Beumer, pas pu être là. Head of digital and marketing.
Musée ouvert en 1885. Les vieux maîtres sont-ils toujours populaire ? Exposition récente, demandé au public de présenter leur inspiration. Oui toujours.
Forte croyance dans les stratégies numériques. Long term conversion. Pour nous la visite physique aussi importante que la visite en ligne. “an online visit is as important...” Peut-être ne pourra pas visiter avant 10 ans. Faire en ligne les mêmes choses qu’en présence.
Voulait être créatif avec les stratégies numérique. Stratégie d’ouvetrure
- rendre accesisble pour apprécier
- accroître l’innovation, permettre aux gens de faire toutes sortes de choses avec les collections
- accroître l’impact. Pas concurent avec la collection physique mais quelque chose en plus.
Par exemple en parallèle exposition, une présentation en ligne qui permet au public de se familiariser avec l’œuvre du peintre pour plus de contexte mais aussi pour permettre au public qui ne pourra pas venir de visiter le site.
Communauté en ligne très importante. Pas toujours aussi actif. Mais partage beaucoup de contenus régulier avec eux. Une segmentation de la communauté par thématique (fleurs, grands maîtres, etc.). Communauté qui peut aussi communiquer entre elle.
Une métrique d’engagements clics d’interaction mesurées sur la plateforme Stories lanchée il y a deux ans. Mesure également le temps passé que l’on compare au reste. 5 ou 6 minutes ce qui est relativement long pour ce genre d’expérience. Instagram 3s ! Compétitif par rapport à d’autres musées.
L’audience numérique globale du musée. Essaye de mesurer l’optimisation pour les moteurs de recherche de notre collection. Faire en sorte que les gens qui utilisent certains termes découvrent nos œuvres. Pas entièrement mesurable car les gens peuvent utiliser d’autres mots clefs. Mais notre objectif principal pas seulement ça. Mais plutôt diffuser notre collection à travers le monde car considère que ne nous appartient pas. De ce point de vue diffusion de la collection pas entièrement visitable.
3M de visiteurs chaque année sur le museé, 6M par mois en ligne. Sans doute changé avec exposition Vermeer. Plusieurs chancels.
Cette conviction que notre collection ne nous appartient pas mais appartient au monde. Belles expositions réalisées par les conservateur, mais aussi Rijks Studio permet de comprendre ce que les gens aimaient. Crise de la COVID qui nous a également permis de mieux comprendre l’intérêt de l’ouverture.
Ouvrrir la collection aide réellement le marketing, car les gens connaissent déjà ces images ainsi possible de conversion plus rapide. Nous croyons dans la conversion à long terme. Espère que les gens voudraient un jour voir les objets de leurs propres yeux. Quelque chose de très positif.
Contrôle quelque chose que ne peut jamais atteindre. Aujourd’hui avec les RSN les gens souhaitent développer leurs propres contenus. Alors possibilité de rendre les gens plus engagés avec leurs collections. Une manière positive de faire ça.
Valeur réelle du musée est la marque mais aussi toutes les connaissances et les expertises dans le musée que peut monétiser. Réaliser une bonne combinaison entre les contenus dont on dispose : séminaires, expertises et recherches. Faire parler nos experts des choses dont dispose. Dont toujours possible de monétiser avec une forte politique d’accès ouvert. Possibilité ajouter marque.
Quid du futur.
- Dans le musée un groupe de projet majeur qui travaille sur le nouveau Rijkstudio. 10 ans âge. Déjà vieux, besoin d’une mise à jour. Pas seulement contenus mais UX car pratiques ont changées. Travaille beaucoup sur cela, espère lancement l’année prochaine.
- Teste beaucoup l’IA, recherche visuelle, VR aussi pour les maisons de retraites et les hopitaux pour amener l’art aux personnes qui n’ont pas accès au musée.
La technique ne gouverne pas nos projets. L’accent est mis sur la visite et l’expérience de l’utilisateur qui veut apprécier l’art. Pas expérience d’un utilisateur mais d’un groupe qui dirige nos actions et des agences qui travaillent avec nous ou qui veulent développer des nouveaux outils avec nous. Demande toujours au visiteur ce qui peut les aider à visiter notre musée.
Un musée hybride ? Pour le RIjks la visite en ligne aussi importante que physique. Espère qu’un jour vous visiterez mais être conscient que certains ne pourrons jamais le visiter. Pour que les gens viennent aux expositions ne les mettait pas en ligne pour que les gens vievnnent avec la covid différent. Car expositions pleine, parfois difficle de quitter le pays.
Notre collection dans un nouveau monde. Digital pas en compétition mais une valeur supplémentaire à travers le monde. “Digital is nos competitive, it’s a added value around the world”
Camille Françoise, développé nombreux projets numériques. Responsable dProduct manager new media à l’institut néerlandais du son et de l’image à La Haye.
Comme en conférence toute la journée, faire un séjour à travers les licences mais aussi à travers les œuvres de Claude Monet.
Wikimédia France véritable moteur auprès des institutions.
Le droit d’auteur est automatique. Dès la création d’uen œuvre originale tous les droits sont réservés à son créateur ou à son cessionnaire. Cela signifie qu’il faut demander une autorisation au titulaire des droits pour reproduire, traduire, modifier, communiquer (liste non exhaustive) son œuvre.
À cause de cet automatisme que l’on a vu l’apparition ces dernières années des licences volontaires qui se proposent de trouver une alternative à la demande d’autorisation des droits. Comme le droit d‘auteur est automatique, il devenait nécessaire de trouver une alteernative pour les œuvres pouvant être diffusées ou modifiées par l’utilisateur.
Les licences volontaires permettent au titulaire ou au créateur de choisir les droits qu’ils veulent conserver et les droits auxuqels ils renconcent pour permettre des usages sélectionnés.
L’objectif est donc de faciliter la communication de ces droits aux utiilsateur et faciliter l’utilisation, la réutilisation ou encore la modification des contenus pour les créateurs et usagers (enseignement, recherche, etc.)
Les licences Creative Commons se déclinent en six variantes exprimées par quatre composantes.
La première attribution et paternité CC-BY.
Cette attribution désigne le nom du créateur et la créatrice de l‘œuvre. L’attribution est incluse dans toutes les licences CC. Cette mention permet toutes les réutilisations, y compris commercial.
Selon les mêmes conditions SA
Pas de modifications ND
Usage non-commercial NC
En fonction des composantes retenues, une variété des niveaux d’ouverture. Plus ou moins libérales.
Basée sur le droit français. équivalent de la licence CC BY.
L’attribution désigne le créateur ou créatrice de l‘œuvre. Cette licence offre à tous le droit d’utiliser.
Les institutions patrimoniales possèdent des œuvres qui sont souvent dans le domaine public. Plusieurs outils sont à leur disposition pour les œuvres du domaine public.
- La CCO
- La marque du Domaine public
- La mention du Domaine public
CCO offre la possibilité de placer une œuvre dans le domaine public de manière anticipée. Possibilité de tous les usages
La marque du mdomaine public est une étiquette pour faciliter la reconnaissance des œuvres dans le domaine public. Elle n’a pas de valeur légale au contraire des autres licences qui sont toutes basées sur un cadre légal.
Pour le domaine public, il est également possible de seulement signaler que l’œuvre est dans le domaine public. Cela nécessaire de faire de la pédagogie autour du domaine public.
Les licences ouvertes ne remplacent pas le droit d’auteur. Elles sont fondées sur le droit d‘auteur et produisent une alternative à l’automatisme du droit d’auteur. Elles viennent donc en surcouche du droit d’auteur pour dire qu’en tant que titulaire des droits d’auteur du contenu nous souhaitons aux utilisateurs de réutiliser du contenu au moyen de cette licence volontaire.
Certaines institutions mettent en CCO des œuvres déjà dans le domaine public, est-ce que cela a un sens ? Il y a plusieurs discussions sur le sujet. Certaines institutions préfèrent l’utilisation du CC0 car cette licence offre un cadre légal. Comme il existe des questions relatives au droit d’auteur selon les pays, il y a une certaine “clarité” sur le domaine public. Risque de recréation d’enclosure pour le domaine public.
Peut-on utiliser d’autres licences pour le domaine public ? Nombre d‘institutions préfèrent la CCBY pour la mention de l’institution. Permet aussi réutilisation et modification pour des fins commerciales. Mais porte aussi une attribution. Une fraude car l’institution culturelle.
Quid de la licence EtatLab. Intérêt d’avoir recours à une licence CC-BY car une reconnaissance internationale. Il y a donc une certaine pertinence à employer un outils international reconnu pour les utilisateurs. Volonté politique française de déveloper cette licence. Engager la discussion avec EtatLab pour voir s’il existe des questions juridiques pour utiliser cette licence. Sinon des licences propres à analyser, etc. La licence EtatLab se justifie pour ce qui est produit par l’état mais pour les œuvres culturelles soumises au droit d’auteur, ne voit pas l’intérêt de maintenir EtatLab. Dates de mise à jour obligatoire dans EtatLab. Il faut distinguer ce qui relève du droit d’auteur, et du domaine public.
Des licences purement déclaratives. Existe-t-il des outils juridiques ou des outils informatiques qui permettrait de retrouver sur internet des images. Pas connaissance de jurisprudence incluant les licences. Mais vaudrait la peine de faire de la veille. Cependant elles sont basées sur un cadre légal ferme. Concernant les outils, il en existe car les licences CC sont lisible par la machine, ce qui permet de les identifier en utilisant des moteurs de recherche. CC-Search moteur de recherche. RDF, etc.
- Recherche et identfiier les ayants droits
- entrer en contact avec les auteurs, débrouillardise. Utiliser tous les outils à notre portée et les biais possibles pour entrer en contact. Recette qui ne s’applique pas systématiquement.
Ressource des dossiers d’œuvres. Utilisation des bases de données généalogiques (Généanet). Recherche dans les archives, les bases de données publiques. Léonore, Agorah, etc. Ressources externes comme les blogs et les annuaires. Parfois contacter des offices notariaux (service public donc en droit de demander des docuemnts en lien avec des successions).
La partie contractualisation. Pas tous juristes mais la contractualisation est un acte de médiation à plusieurs facette. Important de convaincre du bien-fondé de la démarche d’ouverture et de diffusion des contenus culturels. Patience, goût et sens de la communication. Aimer l’autre. Quelques verbes d’action : sensibiliser, informer, expliquer, rassurer sans influencer sur le choix des licences. Coorder le retour des documents.
Observe le plus souvent une méconnaissance autour des droits de propriétés intellectuelle et le droit d’auteur dans la population générale. On a essayé de rendre le plus possible intelligible les contrats. 4 pages, effort de synthétisation. Mais termes juridiques, référence aux licences Creative Commons pas souvent connues. Ayants droits souvent perdus entre les droits qu’ils vont céder au musée et ceux qu’ils vont céder aux tiers. --> essaye de distinguer
Nuance du SA souvent peu comprise. Le fait qu’on puisse avoir des œuvres dérivées pas souvent retenu.
Des vies et des histoires familiales. Autant de cas de figure que de familles.
DAGP vient de demander de ne plus travailler avec... mais comptage.
Exemples Musées de Reims, Nancy musées.