What if we we able able to retake the control our data, if we own our datas, our own digital platform, and if we decide who able to read what, and pay or not to get it? How much values can provide our own data?
Et si, nous étions capables de reprendre le contrôle de nos données ? Si nous disposions de nos propres serveurs, pour distribuer nos données selon nos règles et nos conditions ? Combien pourrait-on revendre nos propres données ?
Dans le principe de MyData.org: cf. https://github.com/Pascal-KOTTE/declaration/blob/master/1.0/FR/index.markdown
https://wiki.p2pfoundation.net/Data_Cooperatives (source EN reprise ici, après traduction)
- appartiennent à leurs membres et devraient donc être plus responsables;
- mettre un terme à la collecte excessive de données à caractère personnel en représentant les personnes concernées et plaider en leur nom;
- peuvent créer de la valeur pour leurs membres;
- peut se former autour de problèmes uniques ou évoluer avec de nombreuses personnes concernées;
- peut devenir représentatif et être utilisé pour créer un changement;
- pourrait aider leurs membres à comprendre comment les données sont utilisées - maîtrise des données;
- peut libérer des données personnelles au nom des membres via des demandes d'accès par sujet;
- peut encourager la production de meilleures données et d'un meilleur contexte par les personnes concernées;
- instaurer la confiance et le consentement au sein de l'organisation et
- peut être un mélange d'organisations de données ouvertes et de données personnelles "
En théorie, les gouvernements eussent dû s'approprier le rôle de réguler la non-appropriation des données personnelles, et de toutes celles utiles pour l'intérêt public. Mais ils n'en comprennent pas la nécessité, et restent dans une certaine logique néolibérale économique, ne permettant pas finalement la création de réelles valeurs pour tous les humains.
Mr Zuckerberg dispose d'un accès sans aucunes restrictions ni limites, au plus grand lac de données du monde, incluant des données très privées. Est-ce normal? Il peut en disposer librement sans contraintes... Et si pour accéder à nos données nous lui faisions signer un contrat dans lequel il s'engage à ne pas utiliser ces données, pour faire voter un brexit par exemple, via des campagnes insidieuses et mensongères en particulier.
Mettre en place simplement un cadre juridique compatible LPD et GDPR pour permettre la mise en partage de données, sous contrôles par leurs propriétaires, que ne sont pas les dépositaires de ces données, mais les mentionnés par ces données:
- Des données personnelles
- Des oeuvres personnelles
- Des informations confidentielles en partages limités et réservés (datacooperative de santé par exemple)
- Des données de personnes morales, qui sortent du cadre LPD et GDPR, mais nous on veut mieux-traiter tout le monde, business et associatif
- Des productions ou oeuvres collectives, associées à un collectif enregistré (personne morale), ou pas (société simple).
A l'ère numérique du 21ème, les données ne sont plus structurées, mais leurs qualités/fiabilités sont souvent conditionnées à des structures. Cela forme un "lac de données":
- Il ne doit pas y avoir "une seule" datacooperative, mais multiples inter-agissantes
- Des API ouvertes et standardisées doivent permettre l'accès et la mise à jour de données.
- Sécurité dans la disponibilité, résilience et multiples stockages, multiples datacentres ou serveurs privés.
- sécurité de l'accès pour les données "confidentielles" et pour les "modificateurs/correcteurs" autorisés.
- identification des participants (toile de confiance)
- sécurisation des lectures limitées
- sécurisation des modifications par les correcteurs autorisés
- sécurisation des conflits de mises à jour
- sécurisation de la non perte du contrôle
- sécurité de l'intégrité/qualité des données: L'amélioration des données, suppression des erreurs ou obsolescences, doublons, triplons
- sécurisation par une réelle anonymisation pour
La gouvernance et l'éthique de l'organisation, en plus de l'organisation de son contrôle et de sa transparence, sont fondamentaux.
- La responsabilité et la gestion d'une datacooperative doit passer par une organisation compatible avec une gouvernance partagée, une démocratie avérée.
- Association loi 1901 en France
- Association article 60 en Suisse
- Coopérative (à compléter lesquelles)
- Autres à déterminer
- Un cadre juridique adapté au pays d'hébergement de ces données est nécessaire.
- La mise en place des accès et standards d'échanges internationaux, doit aussi se faire avec des coopératives des collectifs concernés
- Collaborer avec les organismes du libre et open data existants (Ne pas réinventer l'existant)
- Proposer des modèles le plus universels possibles (genre Creative commons)
- http://news.la-caravane-passe.ch
- le contenu est privé, mais partagé (formulaire mailchimp, pour usage dans un publipostage net-éthique)
- bases d'organisations (collectifs) impliquées dans la transition écologique et humaniste: https://github.com/CloudReady-ch/datacooperative/blob/master/organidations.csv
- bases de personnes publiquement impliquées dans la transition: https://github.com/CloudReady-ch/datacooperative/blob/master/peoples.csv
- Catégorisations en constructions: https://github.com/CloudReady-ch/datacooperative/blob/master/categories.md
- A compléter...
A suivre, car il s'agit de permettre en plus la décentralisation de toutes ces données.